Allégorie sur la coupe du monde 2014 au Brésil.
Présentation :
Le mur, quel meilleur endroit pour commencer à jouer ? Apprivoiser la balle.
Le mur, quel plus bel outil pour projeter ses rêves ? C’est le support idéal pour faciliter la relation entre les songes d’enfants et les désirs d’adultes ; qui mêle professionnels et amateurs, les supporters et leur équipe…
C’est une projection du fantasme, de l’allégorie pure.
C’est une manière d’unir l’histoire individuelle à la mémoire collective. Le choix du mur s’impose comme unité de référence, c’est à travers ce filtre que toutes les images que vous allez découvrir ont été construites…
- Le rêve d’Adrien : C’est au stade Maracana contre le Portugal. La coupe se joue aux pénaltys. Ronaldo est le dernier à tirer. Il place sa balle sur le côté gauche, juste sous la transversale. Dans un ultime coup de rein, il détourne le ballon hors des buts. La France gagne la coupe du monde !
- Le rêve de Marc : zéro à zéro contre l’Allemagne ; en toute fin de match, l’arbitre siffle un pénalty pour les Français. Marc se présente face à Neuer. Il tire à mis hauteur sur la droite du portier allemand qui plonge du bon côté sans empêcher le ballon de passer la ligne : un à zéro pour les Français !
- Rooney rêve d’être un garçon dans le vent ; Il souhaiterait bien porter ses couleurs dans le ciel Brésilien.
- Hosogai et ses coéquipiers, « la tête dans les nuages », aimeraient bien dominer le reste du monde footballistique au Brésil. 5 – Ultime consécration d’une passion, le personnel arbitral ne souhaite qu’une chose : réussir « le match » pour contribuer au succès de l’événement.
- L’histoire serait grandiose : dans un pays où le football est une religion, Iniesta, appuyé par tout un peuple, désire ardemment une seconde coupe du monde pour l’Espagne.
- Issue d’un quartier difficile de Rotterdam, Van Persie connaît bien ses vieux stades en friches au pied des tours. Ce créateur court à toute allure vers un titre qui manque au peuple orange : la coupe du monde !
- Neymar, Corcovado Brésilien, vedette d’une équipe pleine d’espoir, star d’un peuple auriverde avec un but unique : un sixième titre.
- L’année ou Eusébio quitte le grand jeu, Ronaldo, autre étoile de la planète foot entre dans l’arène de la vingtième coupe du monde de football.
- Messi, dieu du football, aspire à gagner le seul grand titre qui lui manque. Pour cela il devra dompter le ballon jusqu’au bout de la compétition. Comme le disait un autre Argentin célèbre adulé des supporters Argentin : Hasta la victoria siempre !
- Hazard et la Belgique. Une belle équipe créative avec un esprit rempli de fraîcheur… Et si c’était eux les nouveaux Brésiliens de l’Europe ?
- Pirlo l’architecte va-t-il construire sa plus belle victoire Italienne sur les plages du pays du football. Italia, Italia ! Les fans sont derrière vous, un peu comme le rêve d’une vague bleue.
- Eto’o, l’indomptable avant-centre des lions Camerounais doit porter son ballon jusqu’au but final. Un peuple debout se dresse derrière lui et son espoir est grand !
- Deschamps aimerait vraiment emmener « son collectif » sur le toit du monde. Il voudrait tellement « chiper » une étoile au drapeau Brésilien. Gilles Desrozier